martes, 8 de febrero de 2011

"KÄΒESPÄTZLE"

Fondu comme fromage, si tendu comme une baguette.

Tu es tout mon soi, T'es rien à la même fois je suis si faible mais je l'admettrai jamais. Paris c'était super malgré tout mon cœur ne s'allume plus, il est en train de mourir il crève horriblement je ne m'avais jamais senti si seul, avec si peur de la vie, je crains les gens et les saisons, son humour change souvent et on peut prétendre que l'on voit rien du tout. Mon inspiration est nulle, je pense que à 5 personnes aux quelles j'aimerais bien serrer entre mes bras avant de périr. Pourquoi j'ai toujours craint un cancer si de toutes manières on ne peut pas éviter que le cœur devient sec, on ne peut pas rester heureux pour plus d'un mois c'est ça raisonnable? On vit pas, on fait du théâtre on prétend que l'on vit seulement pour ne pas alarmer nos cœurs. Dieu il connait mon idée de perfection au moins il sait quoi me rend heureux, Il est trop bon avec moi, si jamais j'étais lui éventuellement je m’aurais déjà fait viré soit pour mes baskets ou pour ma manque des illusions.

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