C'est un truc du corps je dis, on ne pourrait pas expliquer
le désir mais on le ressent et ça suffit, cette fois
c'est plutôt un hommage pour toutes les fois que mon
cœur et mon sexe égoïstement ont voulu posséder le corps précieux
d'une femme. Ne me prennent mal mais ça il faut le sortir, tout ce délicieux
parcours qui commence aux cheveux, baisse aux yeux, s'arrête sur
les lèvres et éclate tout un courant de sensations
mille pensées et pourtant impulses nerveux, un délicat
plat pour chacun de tes nerfs. Les épaules si variables
le dos par derrière assoiffé de caresses et baisers
parfait dans tout son soi parfois avec des petits grains
de beauté. Au front au même niveau... la perdition
des hommes l'autel bénit de l'adoration féminine
symbole ineffaçable et cliché mystique du culte de Vénus.
Les voleurs sacrés de mon regard qui continue son chemin à
Au nombril au ventre, au centre de ce corps parfait et excellemment
bien fait un unisson des hanches la courbature
qui se bifurque en deux chemins l'un direct au début
de la vie et l'autre le pas à la zone la plus érogène
du corps. Les jambes finalement enfermant un univers
complexe de plaisir et distinction.
Chaque atome de son corps me donne envie de renaître
une fois et l'autre pour en profiter de sa corporelle compagnie
jusqu'a mon imagination périsse dans un orgasme d'obsession.
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