Je me dirige vers l'obscurité de la nuit avec ma veste
et les mains dans les poches, je n'ai pas de cicatrices
sur mon visage et heureusement non plus au cœur.
Il m'a fallu déjà marcher tout seul chez moi sans rien
espérer. J'ai mal compris une dizaine d'amours et
ceux qui étaient vrais se sont échappés sous le
regard de mon bon sens. Pour moi chaque mauvaise pensée
est un pas en reculant loin de cette si désirée
prospérité spirituelle. Fatigué de l'attente et de la
confusion de si un jour j'aurait la pensée correcte
pour dépasser la vie elle même, je me suis mis à
confabuler une autre sortie qui franchement je sais
elle n'a aucune opportunité de remplir mes ambitions.
Cette sortie constitue la possibilité de vivre comme
ils le font les humains, avec un univers devant eux mais en
choisissant seulement trois parties de celui-là:
Le plaisir, le matériel et une immense curiosité pour ce qui concerne la facilité
d'une vie bien menée pour la montrer à la société.
À force d'essayer je cours le risque de ne plus vouloir aimer par conséquent vivre.
Si tu pourrais baiser tout mon dos jusqu'au cou...
Elle finirait ma tristesse.
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